Surlignez le ou les extraits du texte qui conviennent pour illustrer chaque argument.
Partie I (v. 1 à 16) : la description d’Ophélie au contact de la nature, flottant sur l’eau
1. Par une comparaison, Ophélie est associée à une fleur.
a. Vers 2 : « La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, »
b. Vers 9-10 : « Le vent baise ses seins et déploie en corolle/Ses grands voiles »
2. Par une métaphore, Ophélie devient une fleur.
a. Vers 2 : « La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, »
b. Vers 9-10 : « Le vent baise ses seins et déploie en corolle/Ses grands voiles »
3. Une diérèse contribue à installer un climat à la fois surnaturel et inquiétant. a. Vers 13 : « Les nénuphars froissés soupirent autour d’elle »
b. Vers 16 : « - Un chant mystérieux tombe des astres d’or »
Partie II (v. 17 à 32) : un chant funèbre
4. Plusieurs substantifs (= noms communs) et adjectifs amènent à poser un regard compatissant sur la jeune noyée.
a. Vers 18 : « Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté ! »
b. Vers 22 : « À ton esprit rêveur portait d’étranges bruits »
c. Vers 29 : « Ciel ! Amour ! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre folle ! »
1. Oraison : discours prononcé en l’honneur d’une personne décédée, généralement le jour de son enterrement.
Partie III (v. 33 à 36) : le poète comme voyant
5. Le fantôme d’Ophélie erre toujours, comme semble l’indiquer l’emploi du présent de l’indicatif.
a. Vers 34 : « Tu viens chercher »
b. Vers 34 : « les fleurs que tu cueillis »
c. Vers 35 : « il a vu sur l’eau »
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